La réussite et la chance : une osmose bien conjuguée !
Indissociable de
la réussite, la chance demeure un concept encore très confus et indéfinissable pour la plupart de nos contemporains qui l’ont pourtant presque adopté comme l’indispensable prérequis à tout projet, du moins comme une condition nécessaire à la réussite lors d’une action quelconque, lorsque l’on passe un
concours ou bien un examen. En effet ne dit-on pas que l’on a manqué de
chance pour signifier que l’on a tout simplement échoué à réaliser ce que l’on s’était assuré d’entreprendre jusqu’au bout ? Les termes, de réussite et de chance, sont donc intimement associés dans l’esprit de tout un chacun, de même que réussir signifiera très certainement pour la grande majorité le fait de gagner beaucoup d’argent ou bien d’obtenir une
notoriété au sein de la société (souvent avec l’apport conjugué de moyens financiers attenants). Par ailleurs, cette même société contemporaine nous assène sans relâche que nous devons "réussir", comme le ferait un
mantra à ressasser de la naissance, en passant par l’école puis au niveau professionnel, ceci toute la vie jusqu’à sa fin dont les croyants diront qu’il faudra aussi réussir à entrer au Paradis de ceux qui sont "bons" ou l’ont été, comprendre : ceux qui ont réussi, en quelque sorte, leur examen de bonté…
Dans ce sens la réussite en toute chose serait synonyme
"d’avoir réussi sa vie", pour tous les autres l’on dira qu’ils n’ont
"pas eu de chance dans la vie", deux expressions bien pratiques afin de ne pas trop entrer dans les détails alors qu’au contraire le sujet reste d’une grande complexité, notamment le concept de chance dont les profanes n’ont aucune idée de ce qu’il exprime réellement. Dans tous les cas, il semble
logique, voire évident, que ceux qui n’ont pas cette chance si convoitée ne réussissent en rien ou presque, il y a donc de quoi creuser la question de cette fameuse chance d’un point de vue plus attentionné, depuis l’autre côté du miroir, sous une perspective plus profonde et par conséquent
ésotérique qui s’apparente à celle que les
initiés aiment à penser et estiment comme une vérité à méditer dans l’absolu. Dans cet ordre d’idée, la chance qui participe à la réussite n’a strictement rien de hasardeux en soi, elle est prédéterminée par d’autres paramètres subtils sur lesquels nous allons nous pencher pour en dévoiler quelques-uns des
secrets rouages.
Quand la volonté cherche à imposer sa propre réussite
Que l’on soit
initié ou non, une chose reste sûre, celle qu’on ne réussit que si l’on en a la
volonté de s’y atteler, ce qui ne signifie pourtant pas forcément que le succès sera au bout du chemin mais que la réussite est aussi une composante personnelle d’un
Ego qui assume qu’il dispose de cette volonté, sans cette étincelle pour avancer alors rien n’est ni possible ni seulement envisageable, et la chance telle qu’on la conçoit communément n’y changera rien non plus, elle n’est, à ce stade qu’un
catalyseur de la réussite, que le tremplin qui permettra une ascension plus rapide et probable vers le succès. Par conséquent voyons dans l’acte de volonté notre troisième élément nécessaire : la volonté servant l’élaboration d’un but recherché,
le succès qui se doit d’être désiré pour se concevoir, et enfin un énigmatique
"facteur chance" qui pourra faire pencher la balance tantôt vers
la réussite en étant présent, tantôt vers l’échec en cas d’absence aux abonnés ! Maintenant que le tableau semble bien dressé, qu’est-ce exactement que cette "chance" si déterminante ? Que représente-t-elle réellement ? Et pourquoi n’est-elle pas toujours présente pour assurer la réussite ?
Passons sur les méandres philosophiques profanes qui ne riment à rien pour aller directement au concept spécifiquement porté par les initiés, ésotériquement parlant, pour savoir ce qui se cache exactement derrière ce terme. Tout d’abord, pour les initiés il n’existe aucun
"heureux hasard", toute action ou projet en soi est déterminé selon certaines lois que l’on qualifiera de
"karmiques", c’est-à-dire ne faisant pas partie de notre sphère ni de compréhension commune ni de dimension purement matérielle et terrestre. Pour autant cette dimension karmique de l’existence aura une incidence ici-bas pour en assurer la bonne marche en explorant
tous les possibles étant rattachés à l’expérimentation de la vie d’un individu, en d’autres mots : l’aspect matérialiste de l’existence est soumis aux corpus de possibilités qu’offre le karma d’une personne, à chacun son propre karma, donc à chacun son éventail de possibilités pour parvenir à ses diverses fins (des buts en tant que
quêtes existentielles essentielles, ou bien, plus raisonnablement en tant que
désirs de projets et de réussites "secondaires", ces dernières étant vécues ou ressenties comme relativement importantes, surtout pour l’Ego matérialiste).
Dans cette perspective essentielle, les priorités sont quelque peu remises en place de manière plus
initiatique pour ceux qui en connaissent les règles, toujours dans ce sens il faut voir la
"part de chance" soit pour réussir une activité comme un
projet karmique essentiel, soit comme un projet annexe plus futile mais néanmoins concevable s’il fait partie des possibles (que l’on peut alors appeler à se manifester par certains moyens, dont des
rituels…).
Le paramètre de "part de chance" : accessible via un rituel
Comprendre que la
"part de chance" n’est que le synonyme profane de ce que les initiés appellent "potentialités personnelles terrestres encadrées par le karma" est déjà une étape initiatique en soi mais cela ne résout qu’une part du questionnement,
"le pourquoi", mais n’apprend rien au quidam sur
"le comment" provoquer cette part de chance ou l’orienter de manière utilitaire, en ayant toutefois bien en tête qu’elle ne contentera que l’Ego sans aider foncièrement à atteindre les
missions de vie karmiquement primordiales pour l’évolution réelle de "l’individualité étendue" (c.-à-d. "l’Être" dans son entière ou plus complète dimension). Or, nous avons un élément crucial déjà cité : la volonté, en effet elle participe à son niveau à cet effort karmique de tri des potentialités pour, tel un train, en aiguiller celles qui semblent les plus "désirées et désirables" pour la personne. De ce fait, plus la volonté se voit affermie dans une direction et plus le
choix karmique se fera de manière précise, sans toutefois jamais totalement obéir intégralement à cette requête, cela se fera plutôt par des voies sensiblement détournées, via certaines
synchronicités à découvrir soi-même…
Mais la volonté ne suffit donc pas, nous le savions, par contre au-delà d’une simple volonté désirable se place un vœu encore plus puissant, une extension
"sacralisée" de la volonté : la prière. Bien entendu de nos jours la plupart de nos contemporains se sont fortement éloignés de toute sacralité, tout ce qui jadis touchait au sacré s’est vu dégradé ou vilipendé par nos modes de vie, par la société entière devenue profane sous couvert de liberté, ce qui finalement aura eu l’effet inverse d’en réduire les capacités à disposer d’un précieux outil pour "proposer" ses propres critères (en majorité des désirs de réussites matérielles) et ainsi jouer le jeu des
potentialités karmiques réorientées en "part de chance".
La prière étant un acte strictement personnel et effectivement religieux inscrit dans un dogme (à chacun ses choix ici-bas), sachons qu’il existe une autre forme de volonté affirmée et sacralisée qui n’est autre que
l’intersession (une personne peut "intercéder" pour vous), ceci dans un cadre professionnel si vous n’avez ni la foi ni le temps d’entretenir une certaine forme de spiritualité équivalente. Notons de suite que l’intersession s’apparente à
un rituel de magie, à une substitution volontaire d’un vœu afin qu’une tierce personne,
praticien professionnel expérimenté, puisse l’exercer pour vous, que nous parlons ici essentiellement de
magie blanche positive (protection, rééquilibrage énergétique, dévoilement) et de
magie rouge (magie de l’amour, des désirs et des sentiments), il est bien plus rare, quoi que possible d’intercéder en
magie noire si les circonstances l’y obligent, toujours karmiquement parlant ! N'hésitez pas à me contacter pour en discuter librement.
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